Ephemeride de la Shoah 5 Janvier

Si toutes les victimes du Nazisme n’étaient pas juives,
tous les JUIFS furent des victimes.
NI PARDON – NI OUBLI.

5 Janvier
1895 Au cours d’une cérémonie humiliante, un officier français d’origine juive, Alfred Dreyfus, est dégradé en public après avoir été condamné pour haute    trahison, malgré des témoignages imprécis et contradictoires. Son procès devant le tribunal militaire de Paris provoque des manifestations antisémites dans toute la France. Condamné à la    détention à perpétuité, Dreyfus est envoyé à l’île du Diable.
Trois ans plus tard, le célèbre écrivain Emile Zola accuse dans un article les juges de Dreyfus d’avoir agi sur ordre. Mais il faut attendre 1906 pour que le complot tramé contre Dreyfus par des officiers antisémites soit finalement déjoué. La Cour de cassation rejette comme infondées les preuves utilisées contre lui. Dreyfus est réintégré dans l’armée française.1943 Au cours d’une Aktion surprise, les nazis liquident le ghetto de Radomsk (province de Lodz, Pologne). Des centaines de juifs sont tués dans    l’affrontement. Les autres, 4 000 environ, sont déportés au camp d’extermination de Treblinka, où ils sont assassinés. Un petit groupe de juifs parvient à fuir, certains jusqu’au ghetto de    Varsovie, où ils participent par la suite à la révolte d’avril 1943.
– Lors d’une Aktion contre le ghetto de Miedzyrzec Podlaski (district de Lublin), les juifs sont déportés aux camps d’extermination de Treblinka et de Maïdanek.
– Plus de 15 000 juifs périssent lors d’une Aktion de deux jours dans le ghetto de Lwow. Ils sont conduits vers les sables de Piaski, au nord-ouest de la ville, où ils sont fusillés. Parmi les    victimes se trouvent le dernier président du Conseil juif, le Dr Eberson, et d’autres membres du Conseil.
1945 Le dernier train de déportation quitte Berlin à destination du camp d’extermination d’Auschwitz. -Un convoi d’environ 40 juifs italiens emprisonnés dans l’unique camp de concentration nazi en territoire italien, à Risiera di San Sabba, prend la direction du camp allemand de Ravensbrück.

    Catharina Soep, Amsterdam, Netherlands    
January 3, 1923 

Catharina, called « Ina » by her family and friends, grew up in a religious Jewish household in Amsterdam. Ina’s father, a successful diamond manufacturer, was president of the Amsterdam Jewish    community. Ina had one brother, Benno, and a sister, Josette.
1933-39: On Sunday mornings and on Wednesdays after my classes at an Amsterdam Montessori school, I went to a private Jewish school where I studied Jewish    history and Hebrew. My friends and I loved to meet in the evenings after we’d finished our homework to play records and chat. Then, when we went back home, we’d call each other up as if we’d been    apart for months. Or we’d write letters to give to each other at school the next morning.
1940-44: The Germans invaded the Netherlands in May 1940. A few weeks later, I graduated from high school. My family was rounded up in 1943. We were taken    to the Westerbork camp in the Netherlands, and eight months later to the Bergen-Belsen concentration camp. In 1944 the Nazis decided to build a diamond industry there, using the connections of    Jews who knew the business. Since my father manufactured diamonds, we weren’t sent to death camps and we stayed together as a family. When German defeat was apparent, the diamond plan was    abandoned.
As the Soviets advanced, Ina and other prisoners were loaded onto trains heading west. Liberated en route by U.S. troops on April 13, 1945, Ina emigrated to the    United States in 1951.

Source: Le Livre De La Mémoire Juive De Simon Wiesenthal
http://www.6millionsdemesfreres.com
Source: http://www.ushmm.org
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